Le faisceau de problématiques est potentiellement immense : en quoi l’architecte et sa culture experte participent-elles à une potentielle dépossession habitante comparable à des formes de colonisations culturelles ? En quoi et comment l’architecture comme discipline pourrait-elle prendre au sérieux et développer concrètement cette invitation à penser « crise raciale » et « crise écologique » du même ton ? À quoi pourraient renvoyer les concepts d’« architectures décoloniales » et d’« architectures autochtones » par-delà les corpus d’édifices bâtis habituellement entendus sous ces termes ?